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vendredi 3 janvier 2025

L’Europe Sacrifie Son Industrie Automobile Pour Une Illusion Écologique



Ah, l’Europe ! Ce phare de la raison et de la cohérence, toujours prête à prendre des décisions éclairées pour le bien-être de ses citoyens. Cette fois, c’est l’industrie automobile qui est dans le collimateur de nos chers dirigeants. Parce que, bien sûr, saborder un secteur clé de l’économie, c’est exactement ce dont nous avions besoin en pleine crise énergétique et climatique. Mais ne vous inquiétez pas, c’est pour la bonne cause : sauver la planète, ou du moins, donner l’illusion de le faire.

Le plan ? Interdire les moteurs thermiques d’ici 2035. Une décision radicale, prise par des bureaucrates qui, visiblement, n’ont jamais eu à se soucier du coût d’une voiture électrique ou de la disponibilité des bornes de recharge. Parce que oui, tout le monde a les moyens de s’offrir une Tesla, n’est-ce pas ? Et bien sûr, le réseau électrique européen est parfaitement capable de supporter cette transition miraculeuse. Spoiler alert : ce n’est pas le cas.

Mais attendez, il y a mieux. Pendant que l’Europe s’évertue à mettre à genoux son industrie automobile, la Chine et les États-Unis continuent allègrement à produire des véhicules thermiques, sans se soucier des normes environnementales. Résultat ? Nos constructeurs européens, déjà en difficulté, vont devoir faire face à une concurrence déloyale. Bravo, l’Europe ! Vous venez de signer l’arrêt de mort de milliers d’emplois.

Et ne parlons même pas de l’impact sur les consommateurs. Parce que, oui, interdire les voitures thermiques, c’est génial pour l’environnement, mais c’est aussi un coup de massue pour le portefeuille des ménages. Les voitures électriques sont chères, leur autonomie est limitée, et les infrastructures de recharge sont quasi inexistantes dans certaines régions. Mais qui a besoin de se déplacer de manière fiable et abordable, hein ?En somme, l’Europe, dans sa grande sagesse, a décidé de sacrifier son industrie automobile sur l’autel de la vertu écologique. Une décision incompréhensible, inefficace, et surtout, profondément injuste pour les travailleurs et les consommateurs. Mais bon, au moins, on pourra se dire qu’on a fait quelque chose pour la planète, même si c’est totalement contre-productif.

. Connard



jeudi 19 janvier 2023

ON AS UN SUPER PRESIDENT. MERCI MACRON




"Emmanuel Macron et une douzaine de ses ministres sont en Espagne pour renforcer les liens franco-espagnols, alors que des manifestations contre la réforme des retraites sont prévues en France. Alors que des centaines de milliers de personnes sont attendues dans les rues pour protester contre le projet de réforme des retraites du gouvernement, Emmanuel Macron et ses ministres, Bruno Le Maire, Gérald Darmanin et Clément Beaune, entre autres, sont en Espagne pour sceller l'amitié franco-espagnole.

Cette coïncidence de calendrier a suscité des réactions de la part de l'opposition, qui a qualifié cela de "méprisant" et de "choix du gouvernement". Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a déclaré que le président de la République devrait "s'intéresser à ce qui se passe et non pas considérer qu'il gère ses petites affaires".

Le traité franco-espagnol, "hautement symbolique" pour la présidence française, prévoit un renforcement de la relation bilatérale sur les questions migratoires, de défense, d'énergie ou de jeunesse.

sont prévues ce jeudi 19 janvier, Emmanuel Macron et 11 de ses ministres se trouvent en Espagne pour signer un "traité d'amitié et de coopération" renforçant la relation bilatérale sur les questions migratoires, de défense, d'énergie ou de jeunesse. Ce déplacement à l'étranger pendant une crise sociale en France suscite de vives réactions de l'opposition, qui voit dans ce choix un mépris de la part du Président et de son gouvernement.

Avec des manifestations et des grèves potentiellement massives contre sa réforme des retraites en cours en France, le président Emmanuel Macron est parti en Espagne pour sceller l'amitié franco-espagnole. Ce déplacement à l'étranger a suscité de vives critiques de la part de l'opposition qui accuse le gouvernement de mépris envers les problèmes internes. Malgré cela, la signature d'un "traité d'amitié et de coopération" entre la France et l'Espagne est considérée comme hautement symbolique pour la présidence française. C'est seulement le troisième traité de ce type signé en Europe par la France, renforçant les relations bilatérales sur les questions migratoires, de défense, d'énergie ou de jeunesse.


Ce texte décrit les positions fermes d'Emmanuel Macron à l'égard des États-Unis, notamment en matière de politique commerciale et de protectionnisme, alors que le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, adopte une attitude plus conciliante. Il mentionne également l'espoir d'Emmanuel Macron de rallier la chancelier allemande Olaf Scholz à sa position lors d'un conseil des ministres franco-allemand qui doit avoir lieu pour célébrer le 60ème anniversaire du Traité de l'Élysée.

La signature de ce traité est un pas important pour renforcer les relations entre la France et l'Espagne, sur des sujets tels que les questions migratoires, la défense, l'énergie et la jeunesse. Cependant, la situation en Catalogne reste tendue avec des manifestations d'indépendantistes catalans qui ont eu lieu à proximité du sommet pour protester contre sa tenue. En outre, le gouvernement espagnol souhaite également discuter de la réouverture des points de passage frontaliers fermés entre les deux pays en raison de la lutte contre le terrorisme et l'immigration illégale.



Connard

vendredi 31 décembre 2021

lundi 22 mars 2021